https://youtu.be/CRfyZCLL-Rs 

L’œuvre de l’artiste puise son essence dans des réalités vécues, méticuleusement recueillies au gré de ses expéditions immersives au sein de cultures diverses.

Fort de ses explorations de vastes étendues, qu’elles soient familières ou lointaines, l’artiste nous convie à une immersion saisissante au cœur de moments de vie d’une intensité palpable. À partir de captures photographiques revisitées avec audace, Raphaël Demarteau orchestre une alchimie instable entre la puissance brute de la nature et la singularité fascinante de lieux où la vie semble opiniâtrement reconquérir son territoire. Il révèle des paysages réinventés par la présence obsédante de l’eau, suscitant en nous une troublante sensation de déjà-vu. Une invitation à une rencontre familière, un espace où le regard s’attarde, captivé.

Les instants qu’il révèle ou suggère opèrent une transmutation temporelle, nous propulsant dans un univers empreint d’une poésie délicate et d’une mélancolie raffinée. Ses nuances de gris subtilement colorées laissent éclore des touches vives, des étincelles chromatiques où l’espoir renaît avec éclat. Sans jamais rompre le lien viscéral unissant l’humain à sa propre empreinte, l’artiste nous confronte à des scènes d’émotions d’une tangibilité poignante. Les palettes chromatiques vibrantes et la richesse texturale palpable constituent le théâtre d’un spectacle captivant qui s’offre à notre contemplation. Tels des vases communicants émotionnels, ses œuvres dressent le portrait d’une confluence d’affects puissants. Les fils du présent tissent le récit d’instants révolus et semblent annoncer un futur imminent, chargé de promesses.

Née en 1955 d’une famille d’artistes, Judith savait très tôt ce que serait sa vocation. A l’âge de 18 ans, elle s’inscrit à l’Académie des Beaux Arts de Enschede aux Pays-Bas et termine ses études en 1981. Sa carrière professionnelle artistique débute en 1986.

Elle réalise des sculptures en bronze mais aussi des reliefs muraux dans lesquels elle combine différents matériaux (acrylique, photos, bronze, acier, …). Le cercle est souvent représenté dans ses œuvres symbole de la vie. “Nous essayons de vivre ensemble et de trouver l’harmonie dans la vie de tous les jours.”

“Je suis un peintre qui vient de l’imprimerie” et “CoBrA, c’est mon école”. Ces deux phrases prononcées par Pierre Alechinsky ne peuvent manquer d’être rappelées quand il s’agit d’évoquer l’œuvre de ce peintre internationalement connu, né à Bruxelles en 1927. La formation de Pierre Alechinsky à La Cambre, L’Ecole nationale supérieure d’Architecture et des Arts décoratifs de Bruxelles, l’amena à étudier la typographie, la photographie et l’illustration du livre. Sa rencontre avec le poète Christian Dotremont, et le peintre Asger Jorn l’amena à jouer un rôle important au sein du mouvement CoBrA qui revendiquait la spontanéité dans l’art, rejetant l’abstraction pure et le réalisme socialiste.
De la main gauche Alechinsky peint, dessine et grave. De la main droite, il écrit.

Il est un des rares artistes à avoir traversé le XX -ème siècle en restant fidèle aux techniques traditionnelles : la peinture, la lithographie, la gravure.
Une simple brosse ou un crayon et une feuille suffisent à explorer l’inconnu, à éveiller le désespoir, la joie et l’émotion.

La Galerie Azur présente une exposition consacrée à Pierre Alechinsky, figure majeure de l’art contemporain.
La Galerie réunit près de vingt œuvres sous diverses formes et techniques : Lithographies, Gravures et Œuvres Originales .

Exposition à ne pas manquer !